Cliquez ici >>> 🦫 risque de finir dans une fosse commune
Savoiture finit dans le fossé près de Redon, la conductrice transportée au CHU de Rennes Une jeune femme a perdu le contrôle de son véhicule «
Fosseseptique, servitudes et voisinage. je suis propiétaire d'une maison ancienne en campagne située sur un grand terrain qui n'a été borné que récemment par le nouveau propiétaire de la parcelle voisine. Il résulte de ce bornage qu'un des regards de ma fosse septique ainsi que l'épandage de celle-ci sont dans la parcelle du voisin.
Unsimple rajout de média (fibre de coco) peut par exemple suffire, plutôt que d’investir dans un recyclage complet qui pourrait coûter cher. Pour finir, sachez que le cout de l’entretien annuel oscille entre 50 et 200 euros. Pour faire une vidange, prévoyez entre 150 et 300 euros. Et si vous deviez faire un recyclage du média, comptez
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Ilaffirme en avoir lui-même enterré « environ 240 » dans une fosse commune. Le van de Sergueï Matouk n’a pas fini sa quête macabre. Derrière le pare-brise, un écriteau porte l
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À la recherche des fosses communes de la bataille d’Azincourt… La préparation du 600e anniversaire de la bataille d’Azincourt se poursuit, au Centre historique médiéval. Sur tous les fronts. Et cette fois, le CHM a décidé de lorgner du côté de l’archéologie… Avec un travail et un partenariat qui débute entre le CHM, l’Université d’Artois et la gendarmerie. L’idée ? Retrouver les fosses communes où sont enterrés les soldats. Explications… Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1€ à notre offre numérique. Sans engagement de durée. ESSAYER POUR 1€ Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Se connecter
A trois mètres sous le niveau du sol, les archéologues de l'INRAP ont mis au jour ce matin deux sépultures humaines sous la place d'Armes de Belfort. Ils ont en même temps mis au jour un imposant mur de fortification qui pourrait remonter au Moyen Âge, mur inconnu des historiens jusqu'à maintenant. Les archéologues ont donc effectué ce jour des découvertes majeures pour la compréhension du passé de notre ville. Il me semble temps de faire avec vous un point sur ces fouilles archéologiques, uniquement à partir de mes observations, comme tous les Belfortains en me promenant autour du périmètre de fouilles, et pour avoir échangé rapidement avec l'archéologue en charge du chantier qui ne veut cependant rien dire avant d'avoir fini de fouiller le secteur. Voilà mes premières déductions 1/ les fouilles confirment la présence du canal de Vauban couvert au XIXe siècle devant le pressing Zattarin et les Trois Maillets 2/ le souterrain que l'on voit passer sous le kiosque à musique depuis le Tabac Rouby photo ci-dessous est bien de l'époque Vauban entre 1687 et 1725 environ. C'était un canal d'adduction d'eau qui permettait de drainer les eaux usées et pluviales des maisons neuves situées entre la place d'armes et l'actuelle place de la République. Il est organisé en patte d'oie deux conduits viennent, l'un du secteur Bar des Marronniers, l'autre du côté Perello. Ils se rejoignaient au niveau des actuelles fouilles, pour ne faire plus qu'un en passant sous le kiosque, avant de se jeter dans le canal, au niveau des Trois Maillets. 3/ les souterrains Vauban ont été construits en détruisant en partie un mur de fortification médiéval complètement inattendu à cet endroit. Ce mur suit, en légère courbe, l'orientation de la place d'Armes. Jusqu'à maintenant, on pensait qu'au Moyen Âge, la ville de Belfort s'arrêtait au niveau de ce fameux canal axe rue du Quai - rue des Boucheries qui était le fossé extérieur. En 1975, lors des dernières fouilles d'ampleur sur le secteur, l'archéologue Michel Rilliot avait suivi le mur intérieur de fortification tout au long de la rue Roussel. Selon les usages de l'époque, il y avait ensuite un espace d'une vingtaine de mètres avant d'arriver au mur de fortification externe. Cet espace était parfois utilisé pour des jardins potagers ou des carpieres. Et maintenant, grande surprise il y avait un mur de fortification environ un mètre de profondeur bien au delà du canal. Était-ce un ouvrage avancé ? Ou la fortification était-elle plus loin que prévue, laissant passer dans la ville entre le mur intérieur et le mur extérieur l'eau de la Savoureuse afin d'alimenter les carpières ?? J'opterai volontiers pour cette deuxième solution...jusqu'à obtenir des informations plus précises. 4/ deux squelettes ont été exhumés "au pied du mur" de fortification découvert, trois mètres sous le niveau actuel de la place d'Armes. Il semble s'agir de sujets adultes, enterrés les pieds orientés vers l'Est, les bras soigneusement repliés sur le torse pour l'un des deux. A quand remontent-ils, et pourquoi sont-ils enterrés là ? - il s'agit forcément de sujets enterrés avant Vauban, donc avant 1687, puisqu'ils se trouvent dans la couche archéologique inférieure. - on n'inhumait jamais à cet endroit à Belfort. Dans la Vieille-Ville, à l'époque médiévale et moderne, il y avait des tombes autour de la vieille église Saint-Denis sous la cour de l'actuelle école Jules Heidet. Hors la ville, les Belfortains allaient se faire enterrer autour de la chapelle de Brasse citée dès 1187. - en cas d'épidémie la peste a sévi plusieurs fois à Belfort il pouvait y avoir des fosses communes, mais à l'écart de la ville, et avec peu de soins dans l'ensevelissement des cadavres. Ce n'est pas le cas ici, et deux corps, ce serait trop peu pour une fosse commune. Il faudrait collecter d'autres éléments pour avoir une datation plus précise. Y avait-il du mobilier autour des deux squelettes bagues, armes, morceaux de bois... ? L'archéologue ne m'a pas répondu sur ce point, mais un témoin habitant la Vieille-Ville m'a certifié qu'ils a vu les archéologues sortir des morceaux de tissu vêtements?. J'ose une hypothèse. Ces corps pourraient remonter au XVIIe siècle, à l'époque de la guerre de Trente Ans 1618-1648. Belfort a essuyé plusieurs sièges importants lors de cette "guerre des Suédois", notamment en 1633. A l'époque, les cimetières sont confessionnels ils sont réservés aux catholiques. Or, l'armée suédoise comptait de très nombreux soldats protestants français, allemands, danois.... Aurait-on voulu enterrer deux "Suédois" en dehors des murs de la ville catholique ?? C'est tout le charme de l'Histoire réfléchir, imaginer toutes les réponses à une énigme, puis les confronter aux nouveaux indices recueillis sur le terrain pour confirmer les hypothèses, ou les rejeter. Nous en saurons sans doute bientôt un peu plus. En attendant, vue l'importance de ces découvertes pour l'Histoire de Belfort, je demande au maire de Belfort de tout mettre en œuvre pour aider les archéologues dans leur enquête historique. Il faut pour cela qu'il arrête de voir dans ces fouilles une entrave à ses travaux, mais bel et bien une opportunité pour l'Histoire de notre ville.
Proche-Orient Le ministère de l'intérieur syrien a démenti, mardi, l'existence d'une fosse commune dans la ville de Deraa, foyer de la contestation lancée il y a deux mois, dénonçant "une campagne calomnieuse" des médias "pour déstabiliser la Syrie". Le ministère de l'intérieur syrien a démenti, mardi 17 mai, l'existence d'une fosse commune dans la ville de Deraa, foyer de la contestation lancée il y a deux mois. "Dans le cadre de la campagne calomnieuse, d'incitation, [de diffusion d'informations] montées de toutes pièces, lancée contre la Syrie, et les tentatives continues de porter atteinte à sa stabilité et à la paix de ses citoyens, certaines chaînes de télévision et médias ont publié une information, citant des témoins oculaires, faisant état de l'existence d'une fosse commune à Deraa", a indiqué l'agence officielle SANA, citant un responsable au ministère de l'intérieur. "Cette information est totalement fausse", a indiqué ce responsable, selon SANA. "Nos citoyens sont conscients de cette campagne tendancieuse dont les objectifs et le timing sont désormais clairs, en particulier après le retour progressif de Deraa à la vie normale", conclut l'agence syrienne. Lundi, le militant Ammar Qurabi, de l'Organisation nationale pour les droits de l'homme en Syrie, joint par téléphone en Egypte, avait fait état de la découverte d'une "fosse commune" dans la vieille ville de Deraa, une ville du sud de la Syrie, foyer de la contestation contre le régime du président Bachar Al-Assad. Son affirmation ne pouvait être vérifiée de manière indépendante, les autorités empêchant les journalistes de se déplacer librement à travers le pays. L'armée avait investi Deraa, située à 100 km au sud de Damas, le 25 avril pour y mater la contestation, avant de s'en retirer, le 5 mai. En savoir plus - Pour mieux connaître la situation dans ce pays, le blog Un œil sur la Syrie. Le Monde avec AFP Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Invisibles. Des êtres humains continuent à mourir en Méditerranée, dans l’indifférence générale. Depuis le début de l’année, ce sont au moins 599 migrants qui sont morts en mer Méditerranée selon les chiffres de l’Organisation internationale pour les migrations OIM. Soit près du double par rapport à l’année dernière sur la même période. La passivité de l’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes Frontex est pointée du doigt par une large majorité de députés européens et d’ONG. L’hécatombe se poursuit, mais l’Europe regarde dernières semaines sont particulièrement éprouvantes pour le seul équipage qui porte encore secours aux embarcations en détresse dans la zone maritime immense que constitue les 500 kilomètres entre les côtes libyennes et les premières côtes européennes, principale route maritime empruntée par les migrants pour rejoindre l’Europe. Ce seul équipage, c’est celui de l’Ocean Viking, le bateau de SOS Méditerranée. Le 22 avril, l’ONG française n’a pu que constater le naufrage de 130 personnes au large de la Libye. L’équipage a décrit des vagues de plus de six mètres de haut» et une pauvre petite embarcation pneumatique grise». Aucun Alarm Phone a publié un rapport au lendemain du naufrage ces morts ne sont pas un accident». Le rapport de l’ONG pointe la responsabilité des autorités européennes elles n’auraient pas prévenu les navires marchands qui circulaient dans la zone et auraient pu porter secours selon l’ONG. Sept heures après le naufrage, un avion de Frontex a été envoyé en reconnaissance. Fabienne Lassalle, la directrice adjointe de SOS Méditerranée, est claire Cet avion a été envoyé beaucoup trop tardivement. Un avion arrivé plus tôt aurait pu identifier l’embarcation». Cette passivité a suscité l’indignation partout en Europe. Le quotidien belge De Standaard a titré L’Europe regarde 130 migrants se noyer, depuis un avion».
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